Pas de courtines festonnées
Pour préserver l’enfant du froid;
Rien que les toiles d’araignées
Qui Pendent des poutres du toit.
Il tremble sur la paille fraîche,
Ce cher petit enfant Jésus,
Et pour l’échauffer dans sa crèche
L’âne et le bœuf soufflent dessus.
La neige au chaume pend ses franges,
Mais sur le toit s’ouvre le Ciel,
Et, tout en blanc, le chœur des anges
Chante aux bergers: ‘Noël! Noël!’
Theophile Gautier
Dopo tanti anni ho ritrovato la mia poesia di Natale preferita
Credo di averla studiata alle elementari.
il Cavaliere Solitario
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